Un grand merci à toutes celles et tous ceux qui se sont déplacés à Genève pour notre porte ouverte et notre 3ème anniversaire le 25 mai dernier.
Une quinzaine de personnes sont venues le matin pour échanger sur nos formations et faire un collage sur leur « avenir professionnel ». C’était un moment très riche du fait des différents parcours et les points de convergence : nous avons besoin d’être en lien pour renforcer notre posture de thérapeute et pour partager ces nouvelles façons de travailler avec les états de conscience élargie. Voire pour certaines et certains, accueillir en soi des changements de perceptions et de manières de voir le monde. C’est là la raison d’être de la Tribu.
Dans l’après-midi, la place fut belle pour des expérimentations avec le tambour ou la méditation active sur le cœur avec plus de 60 personnes.
Puis Olivier Vuagniaux, psychiatre et thérapeute nous a emmené au plus profond de nos cellules et de notre ADN avec une conférence très imagée.
En effet, il a pu observer dans des sessions thérapeutiques que certains patients remontaient à des mémoires issues du stade embryonnaire. Également, des petits enfants, dessinant en thérapie les stades de l’ovule au fœtus…d’où cette connaissance peut-elle venir ?
Elle viendrait de l’ADN elle-même ! En effet, dans l’ADN, il y a 2-3% de protéines (la génétique), et le reste a été appelé longtemps « junk ADN » car on ne savait pas à quoi il servait (!). Or il semble que cet ADN-là serait le support d’un champ électromagnétique qui construirait un champ d’information non-physique.
Dans cet ADN, il y a beaucoup de répétitions, qui forment des chambres de cohérence, dans lesquelles les photons vont entrer, se mettre en cohérence et ressortir pour engager de bonnes actions. Un trauma va déformer ce champ d’information, le rétrécir. A l’inverse, des fréquences peuvent aussi guérir.
Des expériences ont été menées sur des souris, si on leur injecte une molécule qui tue le pancréas, elles meurent. Si on leur injecte la même molécule, en ajoutant une fréquence d’un champ de cohérence d’un pancréas sain, elles ne meurent pas.
Bref, c’était novateur et passionnant !
Un beau gâteau d’anniversaire et des pas de danse ont conclu cette belle journée avec un set live des didgebrothers.
Nous avons profité aussi de l’après-midi pour faciliter les rencontres et échanges entre nos étudiants du Socle 1 et du Socle 2, fraîchement diplômés.
